Une partie de la “liste noire” dressée par l’ONU des entreprises qui font des affaires avec les colonies israéliennes en Cisjordanie et à Jérusalem-Est – qui sont toutes illégales en droit international – a été publiée dans la presse israélienne, en dépit des efforts de l’administration Trump pour qu’elle reste secrète. On y trouve 25 noms, parmi lesquelles “Israel Aerospace Industries”, des entreprises du secteur des télécoms, des multinationales, des banques,…
Le moins que l’on puisse dire est que cette liste est très éclectique, puisque aux côté de “Israel Aerospace Industries”, déjà citée, on trouve le géant de l’électronique Motorola, Hewlett-Packard (qui fournir à Israël tout le système de contrôle de la population palestinienne dans le réseau de checkpoints instaurés par l’occupant), la firme de cosmétiques “Ahava” qui exploite les ressources naturelles de la Mer Morte, la Banque Leumi, le fournisseur de gaz “Paz”, et des entreprises du secteur alimentaire…
Le quotidien Haaretz, qui relaie l’information, rappelle qu’il a déjà, dans le passé, fait état de 150