Compte
tenu de la nature particulière de cette hérésie et de la malveillance qu'elle a
constamment témoigné envers l'islam (car le protestantisme n'est pas une
religion du Livre), nous avons porté une grande attention à son travail.
Le
premier article de cette série qui en comptera trois, nous décrira un
prédicateur grossier, Martin Luther, empêtré dans une théologie de son
invention et qui ne s'est jamais senti exister que dans la soumission à ses
maîtres.
Pour
Mohammed BOUBAKEUR, le luthéranisme comme le reste du protestantisme, n'a
d'autres fondements que ceux du lucre et de la barbarie. C'est ce que l'auteur
rappelle durement aux tenants de ce culte, notamment les Danois, si enclins à
médire de l'islam alors qu'ils devraient se remémorer les attaches criminelles de
leurs croyances.
A
noter à la fin de cet article, l'approche strictement analytique des propos
tenus par Luther que Mohammed BOUBAKEUR tente de faire en dehors de toute
considération théologique, philosophique ou littéraire. Ses conclusions dont
nos lecteurs voudront bien être les approbateurs en dernier ressort, sont
véritablement troublantes.
La rédaction du CCY,
Du protestantisme, religion infâme des Danois et de G.W. Bush
La rédaction du CCY,
Mohammed
BOUBAKEUR parle...
PREMIERE PARTIE : LE LUTHÉRANISME
Pourquoi
« religion infâme » ?
Aujourd’hui,
nous nous proposons d'entretenir nos lecteurs des fanges créatrices des
caricatures du prophète publiées par les Danois.
Mais
pourquoi « religion infâme » ? La raison en est simple : à cause
d'un livre écrit par Luther, peu avant sa mort, légué à la postérité des hommes
pour affermir l'assise théologique de la foi protestante. En
vérité, un sujet tabou, dont les Danois et les autres luthériens refusent
farouchement d'en reconnaître le contenu.
Le contenu antisémite de ce livre n'a
jamais été égalé. Sa couverture représente un rabbin qui
se délecte de la vue des organes sexuels d'une truie pendant que deux très
jeunes enfants juifs, marqués du sceau de l'infamie, lui lèchent les parties et
qu'un troisième, en arrière-plan, se livre à des pratiques obscènes sur un
porcelet. La portée génocidaire de cet
ouvrage sera étudiée plus loin.
Pourquoi ces articles ?
Ces
lignes ont été rédigées dans le souvenir de l’accueil fait par Dalil Boubakeur
à l'ambassadeur du Danemark venu à la mosquée de Paris, « pour demander
pardon » lors du scandale des caricatures précitées.
Au
lieu de l'éconduire, le prétendu cardiologue recevra le bonhomme avec moult
salamalecs (une spécialité qu'on ne saurait lui contester). Et ce, dans la
continuité de son oncle, le bachaga Al Sid Cheikh, autre champion du
colonialisme français, maire d'El Abiodh Sidi Cheikh en Algérie, et sénateur de
la Saoura, quasi-illettré mais œnologue de talent quand il s’agissait de garnir
sa table de vins fins, près de la Koubba de Sidi Cheikh, pour honorer les
colons.
Ces
lignes sont aussi écrites dans le souvenir de la présence du prétendu
cardiologue dans un de ces trous méthodistes de Paris, en des moments que
personne n'a oubliés.
Notons
enfin que Dalil Boubakeur appelle de ses vœux « un nouveau Luther »
pour l'islam. C'est ce qui ressort d'un récent article de « La
Croix », certes assez sévère mais qui aurait gagné en qualité si son
auteur avait vérifié ses sources concernant la cardiologie de son
interlocuteur. Nous trouverons ici un
nouvel échantillon de la culture faite de lieux communs et assez publicitaire
de Dalil Boubakeur.
http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Dalil-Boubakeur-ou-les-paradoxes-de-l-islam-de-France-2013-07-08-983805
Selon
les écrits catholiques, le protestantisme est une religion « prétendument
réformée ». Rien n’est plus juste. En ce sens que l’ensemble de ses
branches, c'est à dire le luthéranisme et le calvinisme auquel se rattachent
l’anglicanisme ainsi que d'innombrables sectes américaines, réunissent dans
leurs fondements les péchés les plus gravement condamnés par les Écritures.
Comme
on le verra, le protestantisme, religion des Danois, auteurs des odieuses
caricatures dont on n'a pas fini de parler et de G.W. Busch, ennemi
irréductible de l’islam, n’est rien d’autre que l’expression ultime de vices
dont l’Eglise avait déjà largement profité.
La
théologie comparée n'étant pas ma spécialité, je précise que, dans ce qui suit,
peu de choses sont de mon propre cru. Une partie de cet article résulte de la
transcription d'écrits catholiques s'intéressant au protestantisme. Le restant
provient
de sources que j'ai clairement référencées. La dernière partie de cette
recherche se compose d'un rapprochement logique des éléments indiscutables
rapportés par notre travail et d'une conclusion qui se dégage d'elle-même.
Il
convient de rappeler que pour un musulman, le protestantisme n'est pas une
religion du Livre et ne peut prétendre à une quelconque déférence de notre
part. Le protestantisme en a-t-il éprouvé jamais à l'égard de l’islam ?
Pour se convaincre de la gravité de l'affaire, on
consultera avec intérêt les pages
Internet suivantes :
http://blog.oratoiredulouvre.fr/2010/04/l%E2%80%99antisemitisme-de-luther-selon-ses-%C2%AB-propos-de-table-%C2%BB/
Défense et illustration de la
religion chrétienne :
Le
miracle de la Sainte Trinité et les mystères de la passion quand l’Esprit Saint
descend sur ses théologiens (France, vers1600 – anonyme)
Le
luthéranisme, point de rencontre de la cupidité et du lucre
Il
est une vérité établie qu'en l'an 1517, le moine Augustin, Luther, reçut pour
mission de ses supérieurs de dénoncer le commerce des indulgences pratiqué par
l'Eglise dans des dimensions industrielles, parce que cette charge très
lucrative leur avait été enlevée par le Pape Léon X pour la donner aux dominicains.
Ceci
dans une vindicte aisément compréhensible mais aussi pour « casser la
baraque » des dominicains, si l'on veut utiliser le parler des mendiants
d’aujourd’hui quand ils se vengent d’un des leurs qui refuse de respecter le
périmètre de mendicité de ses acolytes.
Le
pape Léon X, lui-même, responsable de la réattribution de cet office, avait
analysé l'agitation de Luther comme la conséquence naturelle de ce
mécontentement et regardait ses diatribes sans inquiétude, tant la rivalité
entre ces deux ordres monastiques était ancienne et irréductible.
Il
n’avait d’ailleurs été averti des frasques de Luther que par les dominicains
eux-mêmes, furieux de constater combien les libelles de Luther avaient
« cassé leur baraque » et ruiné leurs affaires. En effet, les
critiques du moine avaient été affichées sur les murs de l’église de Wittenberg
fort malicieusement, la veille de la Toussaint 1517 (31 octobre 1517), période
« de pointe » dans la vente des indulgences.
Les dominicains, leur chiffre d’affaire en déroute, exigèrent des sanctions. Le
souverain pontife, son autorité bafouée, accéda à leur requête. Les guerres de
religions commencent…
L.E.
Rogie, P. Despiques et H. Mignot (Nouveau cours d'histoire) 1930
C’est
qu’avec la rébellion de Luther devant les remontrances de Léon X (bulle
« Exurge Domine » du 15 juin 1520, brûlée publiquement par le moine
le jour de Noël 1520) puis son excommunication (5 janvier 1521), l’affaire prit
un tour beaucoup plus grave quand les innombrables princes allemands de ces
régions entrèrent dans la querelle.
Car
tous ces roitelets avaient vu dans les fameuses « thèses » de Luther, un excellent moyen de rejeter l'autorité du pape et de se saisir des biens
considérables que l’Eglise avait accumulés dans leur pays. On sait que la vie
de Luther se trouvant alors menacée, l'un d'eux, Prince Électeur de Saxe, le fit « enlever », le 4 mai
1521, pour le cacher au château de Wartburg et lui faire traduire la Bible en
allemand. Ceci afin de mieux propager ses idées.
Tous
les auteurs s’accordent à dire que la dénonciation des indulgences par Luther
n’a été qu’une étincelle produite dans un contexte explosif. Celui d’une
profonde crise de la spiritualité en Europe, en des temps nouveaux où
l’intelligence prenait le pas sur une religion catholique minée par la
superstition (culte des reliques) et le charlatanisme (achat tarifé du pardon
de Dieu). Mais aussi et surtout, à cause des richesses insolentes accumulées
par cette institution, face à des peuples misérables et des états désargentés.
Pourquoi
l'Allemagne ?
C'est
que Luther appartient à un temps où la terre est la base de la richesse. Or la
richesse foncière de l'Eglise en ce pays était devenue encore plus insolente
que dans le reste de l'Europe. Il faut aussi préciser que la coutume relative
aux héritages chez les peuples germaniques était très particulière : le
droit d’aînesse n'existait pas, contrairement aux règles de
primogéniture en d'autres pays d'Europe. Les royaumes germaniques ont donc été
partagés pendant très longtemps en territoires plus moins équivalents entre
tous les descendants mâles du défunt.
C'est
ainsi que la France est née du traité de Verdun en 843 avec le partage de
l'empire de Charlemagne entre ses fils (en même temps sont nés d'autres états
comme la Lotharingie qui s'est disloquée depuis). On comprendra aisément qu'au
fil des siècles, ce mode de succession ait morcelé la partie germanique de
l'empire de Charlemagne en des Etats de plus en plus petits.
Dans
ce même temps, l'Eglise avait institué le célibat de ses prêtres pour interdire
tout héritage. Ceci pour rendre illégitime leur
descendance et garder la mainmise sur des territoires qui, augmentés des
acquisitions du prélat usufruitier des lieux, s’agrandissaient à chaque
génération.
Ce
célibat institutionnel qui perdure jusqu'à nos jours n'a d'autre origine que
cette technique successorale.
On
comprendra également que ce célibat hypocritement camouflé sous des dehors de
chasteté n'a jamais été observé. Au contraire, aidé de l'outil de la
confession, il a été un moyen extraordinairement efficace pour satisfaire les
débordements sexuels des prêtres catholiques romains. Jusqu’à nos jours.
C'est
l'accumulation des biens de l'Eglise en des masses véritablement critiques,
face à des Etats microscopiques et
impécunieux qui a fait exploser la chrétienté allemande. Car les territoires
accaparés par l’Eglise ont toujours été une source de conflit à travers le
monde. On se souviendra que la récupération de ces domaines qui formaient de
véritables états à travers l’Europe (ils seront d’ailleurs définis comme les
États Pontificaux) constituera des problèmes récurrents, aussi bien en France
avec la révolution de 1789 qu’en Italie avec la réalisation de son unité.
Dans
ces derniers cas, cette question ne fut réglée qu'au XXe siècle avec
les accords du Latran signés par Mussolini et en France, dans les années 1920.
De ce passé sulfureux, il reste encore à l’Eglise un parc immobilier parmi les
plus importants jamais constitués et des conflits récursifs aussi bien avec des
familles spoliées par des legs abusifs qu’avec des états en quête de
souveraineté.
L'esprit
de lucre et celui de la cupidité sont donc les parents spirituels du
luthéranisme pour avoir engendré la colère des Augustins après qu'ils aient été
écartés d’un commerce fait de bouts de papiers griffonnés par le pape et qu’on
mettait dans la main des morts en guise de ticket d’entrée au paradis.
La
tête de l'emploi
Indépendamment
des mauvais auspices sous lesquels naquit le culte luthérien, il est reconnu
que l’intempérance alimentaire de Luther était répugnante. Plusieurs sources en
font foi et il n'est que de regarder son physique pour s'en convaincre.
Ulrich Zwingli, un autre
réformateur de son temps, le décrit comme « un pourceau immonde
s’en allant, grognant et flairant, par ci par là, les fleurs d’un beau
jardin ; c’est-à-dire avec la même impureté, la même ignorance de la
théologie, la même inconvenance que Luther parle de Dieu et des choses saintes ».
Causeries
du dimanche : Chapitre 44 - Le protestantisme.(Éditions E. Petithenry)
Rien
d'étonnant à ces propos puisque ce sont des chrétiens protestants qui se
décrivent entre eux. Mais il n’en est pas moins vrai que les portraits de
Luther se signalent par son faciès grossier, même si les peintres de ces temps
s'obligeaient à flatter le visage de leur client en raison des prix élevés
qu'ils demandaient pour leur travail.
Portrait officiel de Martin Luther en 1533 par Lucas Cranach l'Ancien, montrant un visage
indéniablement épais mais des traits réguliers et une peau aussi parfaite que
celle d’une présentatrice de télévision d’aujourd’hui.
Portrait de Luther,
également exécuté par Cranach à la même époque et authentifié par ce timbre de
la Poste allemande. Ces deux portraits révèlent des lésions de la
peau nombreuses et infectées dont certaines enkystées, notamment au menton et
en bas de la joue.
A
noter que Cranach l’Ancien n'est pas un artiste porté sur la caricature ou la
laideur. Il est à juste titre connu pour être un peintre de la beauté et la
grâce. En réalité, Luther n'est pas un esprit très fin. Ses écrits se
distinguent surtout par la vulgarité de leur forme et de leur fond. Le nom de
cet homme provient de la déformation de Lothaire d'origine franque. Les racines
de sa généalogie se perdent dans celles de la paysannerie germanique la plus
ancienne.
Sa
fameuse confession d'Augsbourg a été écrite par l'un de ses disciples Philippe
Melanchton et s'il a eu le mérite de s'être arraché à ses origines modestes
pour choisir la prêtrise, il ne s’agit pas d’un révolutionnaire.Tant s’en faut.
A lire ses textes, il prêchera toujours pour le respect des princes qui seront
ses protecteurs et condamnera les révoltes paysannes qui voyaient en ses
prédications l’annonce de temps plus justes. Il ne s'éloignera de la religion
catholique qu'à regret, préservera le culte de la Vierge Marie et réaffirmera le
dogme de la trinité ainsi que celui de l'eucharistie.
Dans
l'éventail que constituent les innombrables réformateurs du christianisme,
Luther se situe parmi ceux qui accordent le plus d’importance aux sacrements et
à la liturgie. Il affirme que ces pratiques apportent le salut et qu’elles
transmettent la grâce. Luther en fait les véhicules par lesquels les bienfaits
de Dieu nous parviennent et nous atteignent.
Tous
les auteurs reconnaissent qu’il fut très marqué par le catholicisme dont il se
détache difficilement, imprégné qu'il était de la pratique sacramentelle qu’il
a connue au couvent et qui faisait de la communion un moment majeur de la vie
chrétienne. Luther donne à la Cène (dernier repas de Jésus Christ avec ses
apôtres) une fonction et une valeur essentielles. Et le moine, bien
qu’excommunié, écrit : « Dieu nous a commandé que nous nous fassions baptiser,
ou nous ne serons pas sauvés... Nous prenons la Cène afin d’y obtenir la
rémission des péchés ».
Seule
originalité, l’invention qu’on lui prête de la « consubstantialité » (ce mot ne
se retrouve pas dans ses écrits) ajoute de la fantaisie au tour de passe-passe
qu'est l'eucharistie aux yeux de l'islam. Rappelons que, pour les catholiques,
l'eucharistie est un phénomène qui se produit à l'instant de la communion,
quand le vin consacré par le prêtre se transforme en sang de Jésus et l'hostie
en sa chair, alors que ces deux substances ne changent visiblement pas d'état.
Même
si le mot « consubstantiation » ne se trouve pas sous sa plume, Luther estime
que le pain et le vin, tout en restant ce qu’ils sont, deviennent corps et sang
du Christ « en une transformation substantielle des éléments, qui les rend
sacrés, et qui leur confère une valeur surnaturelle », comme le
catholicisme le prétend.
Comprenne
qui pourra…
Tous
ces raisonnements, pour le moins empêtrés, font du luthéranisme un ensemble de
spéculations intellectuelles oiseuses et plutôt inattendues de la part d’un
homme qui exige de la religion catholique plus de rigueur mais qui,
paradoxalement, n'hésite pas à ajouter un miracle supplémentaire au mythe de l’eucharistie qui en est déjà farci.
Pour
finir, on remarquera qu’en 1975, l'archevêque « traditionaliste »
Marcel Lefèvre, ennemi déclaré de la religion « conciliaire » issue
de Vatican II, souligne les grandes similitudes des dispositions prises par
Vatican II sous le règne de Paul VI, avec la doctrine luthérienne.
Avez-vous lu Martin
Luther ?
La pensée de Luther,
pour ténébreuse qu'elle soit, devient d’une clarté aveuglante quand on lit ses
« traités » antisémites.
Leur
contenu est abominable. Ces « traités » font de Luther un théoricien indiscutable
et incroyablement précoce de la politique antisémite allemande qui ravagera
l’Europe du XXe siècle.
Premier
ouvrage antisémite : « Des juifs et leurs mensonges »
Ce « traité » de 65 000 mots écrit en 1543 est d'une
violence véritablement hallucinante.
Selon plusieurs auteurs, dont l'historien William
L. Shirer (La Montée et la chute du Troisième Reich)
(http://fr.wikipedia.org/wiki/William_L._Shirer), il s’agit du premier ouvrage
d'antisémitisme moderne et comme un grand pas sur la route du génocide nazi
envers les juifs (notons que William L. Schirer était de confession
protestante) :
« Il est difficile de comprendre le
comportement de la plupart des protestants allemands durant les premières
années du nazisme si on ne prend pas en compte deux choses : leur histoire et
l'influence de Martin Luther. Le grand fondateur du protestantisme était à la
fois un antisémite ardent et un partisan absolu de l'autorité politique. Il
voulait une Allemagne débarrassée des Juifs. Le conseil de Luther a été
littéralement suivi quatre siècles plus tard par Hitler, Goering et Himmler ».
En effet, sur
les pages du PREMIER « traité » de Luther, dans un PLAN D’ACTION ETONNAMMENT STRUCTURE EN 8 POINTS, sont tracées les
lignes juridiques, techniques et économiques nécessaires à leur élimination
physique, comme
cela a été fait par les nazis à la conférence de Wannsee en 1942. Certains
historiens qualifient ce livre de « proto-nazi »
et attribuent
la « solution finale » nazie directement à Luther, ce qui n'est guère excessif quant à son approche extraordinairement
contemporaine de ce sujet.
Voici
quelques lignes de ce livre où se reconnaît la scatologie de l'Eglise qui avait
formé Luther :
« Les Juifs sont un « peuple de débauche, c'est-à-dire pas des
gens de Dieu, et leurs fanfaronnades sur leur lignage, la circoncision et leurs
lois doivent être considérées comme une cochonnerie ». « Ils sont remplis d'excréments du diable… dans lesquels ils se vautrent comme des pourceaux. » Quant à la synagogue, c'est une « putain
incorrigible et une souillure du diable... » Leurs synagogues et
leurs écoles doivent être brûlées, leurs livres de prières détruits, leurs
rabbins interdits d'officier, leurs maisons rasées, et leurs biens et argents
confisqués. On ne doit montrer à leur
égard aucune pitié ni aucune bonté, ne leur procurer
aucune protection légale, et ces « vers venimeux et vénéneux »
doivent être punis de travaux forcés ou expulsés une fois pour toutes.
NOUS SOMMES FAUTIFS DE NE PAS LES TUER »
Second
ouvrage antisémite : « Vom Schem Hamphoras und das Geschlecht
Christi »
(Du nom de Hamphoras et de la lignée du Christ, année 1546).
(Du nom de Hamphoras et de la lignée du Christ, année 1546).
L'antisémitisme forcené de Luther est un problème
insoluble pour le luthéranisme d'aujourd'hui. D'autant que Luther récidive plus
gravement encore dans ce SECOND
« TRAITE», plus antisémite encore que le premier et d'une
scatologie porcine indicible.
Écrit quelques mois avant sa mort, ce livre est le
dernier message de Luther à ses survivants. Il a pour couverture l’image d’un
rabbin qui se délecte de la vue des organes sexuels d'une truie pendant que
deux très jeunes enfants juifs, le dos marqués du sceau de l'infamie, lui
lèchent les parties. Un troisième enfant, situé en arrière-plan, se livre à des
pratiques obscènes sur un porcelet. Dans cette distribution, Luther n'a pas
oublié d'installer en bonne place les livres sacrés des juifs dont on épargnera
les détails à nos lecteurs.
La représentation de très
jeunes enfants juifs sur cette image est la marque non seulement d'un penchant
pour la prostitution enfantine mais aussi des visées génocidaires de ce livre.
On notera que les deux enfants au
premier plan sont coiffés d'une kippa. Le visage de l'enfant de droite
montre,
certes un profil hideux, mais surtout des traits d'adulte.
Ceci, afin de le priver
de l'innocence de l'âge, d'indiquer que les enfants juifs sont aussi
malfaisants que les juifs adultes et qu'ils sont passibles du même sort, c'est
à dire la mort.
Mais il y a plus grave
encore : les deux enfants au premier plan ont les fesses à l'air et leurs
pieds sont fourchus, afin de leur donner une allure de porcelets et de montrer
qu’ils sont le fruit des amours zoophiles d’un juif et d’une truie.
Luther ACCUSE DONC LES Juifs de
ZOOPHILIE PORCINE.
Il convient de faire ici un parallèle
entre Martin Luther et Roland Freisler, le procureur attitré de Hitler qui,
dans ses réquisitoires, accusait ses victimes de pratiques sexuelles obscènes.
Dans cette affaire,
Luther n’est pas au-dessus des autres hommes et les tenants de ses
enseignements devront admettre qu’à la fin de cet article, dans un esprit
d’objectivité bien comprise, on soit contraint d’aller au fond des choses.
Parce qu’un musulman
n’a que faire de l’immunité morale dont ce prêtre défroqué semble bénéficier auprès de ses adeptes en
application d'une « grâce divine » propre à leur religion.
Telles sont
l’objectivité et la liberté d’expression bien comprises : les fameuses
« caricatures du prophète » n’en sont pas la finalité exclusive.
Les caricatures nazies des enfants
juifs.
De longues recherches sur Internet se limitent aux
caricatures d'enfants juifs dessinées par une femme allemande, Elvira
Bauer. Ces caricatures furent éditées en 1936 et bénéficièrent d'une grande
diffusion. Elvira Bauer est morte à Berlin, en 1945, sous les bombardements.
La
plus suggestive de ses représentations figure ci-dessus. Elle met en scène des
enfants juifs chassés d'une école allemande avec leur instituteur, pour la plus
grande joie des autres écoliers allemands.
On
remarquera les traits enlaidis des enfants juifs mais dans des proportions qui
ne sont pas comparables à la caricature dont le « traité » de Luther
est revêtu.
Cette
retenue, non par humanité mais pour dissimuler avant tout, la solution finale
qui leur était réservée. En tout état de cause, il n’est fait nulle part
allusion à leur génome zoophile.
Aucune
excuse au monde ne saurait effacer les écrits racistes de Martin Luther. Toutes
explications les réduisant a une valeur symbolique, théologique ou abstraite ne
peuvent être qu'odieuses et obligeraient à considérer les tenants de ces thèses
comme complices des crimes espérés par Martin Luther, lorsque ceux-ci viendront
frapper les êtres désignés par lui aux tueurs hitlériens.
C'est
pourtant la candeur de l'assassin qui est ignominieusement plaidée par les des Danois
et autres tenants de la religion luthérienne, dans un déni impudique des
réalités.
Car la plume est parfois la plus meurtrière des armes.
C'est
ce que rappelle la condamnation à mort de l'écrivain collaborationniste, non
sans talent, Robert Brasillach pour ses appels au meurtre dans son journal « Je
suis partout » et dont la grâce a été rejetée par le Général de
Gaulle.
En vérité, le seul enseignement qu'on peut
tirer de ces écrits est que Martin Luther est un salaud.
Un monstre bassement taré. Rien ne peut être présenté pour la
défense de ce géniteur corrompu du protestantisme dont la bestialité
intellectuelle est clairement affichée par son faciès de brute.
Rappelons que depuis les débuts du XVIe siècle (1537),
bien plus de 80 % des Danois suivent la religion prêchée par cet individu.
Pour
ma part, je pense que Luther à travers ses « traités » antisémites avait
une double intention :
1°)
donner au luthéranisme une assise doctrinale plus agressive
encore que celle des catholiques à l'égard des juifs, pour dramatiser sa
réforme à des fins de propagande ;
2°) œuvrer pour que ses
maîtres, les princes allemands, puissent légitimement se saisir
des avoirs juifs (notamment de leurs créances) de la même façon qu'ils se sont
emparé des biens de l'Eglise.
Devrons-nous
pour autant, limiter notre étude aux abords connus du luthéranisme?
Car
jusqu’à aujourd’hui, il n’est, à ma connaissance, personne qui se soit aventuré
en ces abysses horribles de l'âme humaine...
En
réalité, dans ses écrits, seul devant sa plume, son encre et son parchemin,
Luther DECOMPENSE. Son
vocabulaire s'envahit alors de « porcs », de « cochons », de.
« cochonneries », de « pourceaux », de « porcelets », de « verrats »
et de« truies », ce qui conduit à la question suivante : comment expliquer sa
haine obsessionnelle envers ces animaux ?
Nous
devons revenir ici sur le cas de Roland Friesler, le procureur attitré
d'Hitler, qui accusait ses victimes mille fois promises à la mort, de pratiques
sexuelles obscènes et dont on explique le sadisme par son passé communiste.
Roland
Freisler, Berlin - Allemagne, 30 octobre 1893 - 3 février 1945)
Soldat
pendant la Première Guerre mondiale, il fut capturé par l'armée soviétique et
fut prisonnier de guerre. Lorsqu'il retourna en
Allemagne, il rejoignit le parti communiste allemand. En 1925, il
adhéra au parti ouvrier allemand national socialiste (NSDAP). Source : © Spartacus
C'est dans cet esprit qu'il faut s’interroger sur
les débordements du moine défroqué. Les luthériens souffriront qu’on se pose cette question dans la mesure
où Luther s’en donne le droit pour insulter son prochain.
En 1923, Hitler fit l’éloge de Luther, et
l’appela le plus grand génie allemand, car il « a vu le Juif comme nous, aujourd’hui,
nous commençons à le voir ».
Les nazis n’eurent pas
besoin d’amplifier la démonisation des juifs, il leur a suffi de reprendre avec
reconnaissance les arguments du réformateur protestant. . Quelques jours
après la « Nuit de Cristal », l’évêque de Thüringen écrivit que
Luther, qui était né le 10 novembre 1483, n’aurait pu souhaiter un plus beau
cadeau d’anniversaire. Pendant la Seconde Guerre mondiale, de nombreux
chefs religieux se référèrent à Luther pour justifier la politique
d’extermination des Juifs. Et durant les procès de Nuremberg après la guerre, Jules
Streicher, rédacteur en chef du magazine antisémite « Der
Stürmer », se défendit en déclarant que même un « génie » comme Luther
détestait les juifs, et que tout le monde appréciait Luther, ses amis comme ses
ennemis. « Il serait aujourd’hui dans le box des accusés à ma place, si les
procureurs ici présents l’avaient poursuivi pour avoir écrit « Les
juifs et leurs mensonges », affirma Streicher.
Julius Streicher (Fleinhausen :12 février
1985 - Nuremberg : 16 octobre 1946).
Les
prédications de Luther et la sévérité de l'Histoire
Luther
était-il seulement convaincu de la nature blasphématoire des indulgences ?
Certainement pas et il écrit lui même dans fameuses « 95
thèses » : "Maudit soit celui qui parle contre la vérité des
indulgences apostoliques (thèse71)." C'est pour cela qu'on ne sait où se
situe l'individu, tant il passe son temps à démontrer un chose puis son
contraire, dans des allers et retours incessants.
En
réalité, la vente des indulgences était tellement enracinée dans la chrétienté
depuis des siècles et tant appréciée des fidèles que l'Eglise n'arrivait pas à
satisfaire la demande. Il est constamment rapporté, que les fidèles en étaient
si friands qu’ils allaient en acheter dans les pays voisins quand les princes
allemands les interdisaient sur leurs territoires en raison de la ponction
monétaire qui en résultait. Il est vrai que l'Allemagne comptait 400 États et
qu'ils étaient par conséquent très petits.
Cet
esprit de combine pour se garantir les grâces de la Providence a subsisté
jusqu'à un passé récent dans nombre de familles catholiques où l'un des membres
prenait la soutane pour faciliter l'accès des jardins célestes à sa parenté.
Dans
ces conditions, on comprendra que les idées professées par Luther, étant pour
le moins hésitantes à l'égard de la doctrine de Rome, elles ne se soient pas
répandues hors de certaines régions du Nord de l'Europe. En effet, elles
n'avaient pas d'autre objectif que de permettre la saisie des biens
ecclésiastiques.
Force
est donc de constater que son hérésie, quelque peu ratée sur le plan
intellectuel, n'a pas connu l'expansion de l'hérésie protestante suivante,
appelée « seconde réforme » dirigée par deux aventuriers du
christianisme, le français Calvin (Genève) et le suisse Zwingli (Zurich),
esprits beaucoup plus dangereux du point de vue de leur rhétorique religieuse.
En
réalité, Calvin comme Zwingli considéraient à juste titre Luther comme un
esprit frustre et grossier. C'est
Zwingli, lui-même, qui se moquera de son visage porcin. Calvin et Zwingli n'ont
d'ailleurs jamais éprouvé la nécessité de rencontrer Luther. Car il fut bien
leur inspirateur, quoi qu’ils en disent, la chronologie des faits étant là pour
démontrer la fausseté de leurs dénégations.
De
son côté, Luther n'aura de cesse de protester contre le braconnage de ses idées
pratiqué par Calvin et Zwingli. Notamment celle de la prédestination qui est un
véritable encouragement à la débauche. Selon Luther, on peut mener une vie
dissolue et entrer malgré tout dans la félicité de Dieu quand de plus méritants
se verraient refuser sa grâce. Quelques autres de ses prédications sont aussi
déroutantes, notamment celles concernant la piété, la foi et ses propos
orduriers,
En
réalité, les enjeux de la réforme Luthérienne étaient territoriaux. La
spiritualité n’étant qu’un prétexte pour récupérer les richesses énormes de l’Eglise
en Allemagne et aussi ceux des juifs.
Les
guerres qui s’en suivirent, car l’Eglise ne pouvait se laisser plumer sans
réaction, aboutirent à la paix dite « d’Augsbourg » en 1555.
Paix
plâtrée s’il en est et qui règle les questions religieuses de façon
expéditive : les peuples d’Allemagne suivront la religion de leur prince. Preuve
qu’elles n’étaient pas la motivation réelle de ce conflit.
Par
contre, la question des biens de l’Eglise saisis par ces hobereaux est résolue
beaucoup plus difficilement et prévoyait certaines restitutions qui ne furent
jamais respectées. Pire encore, ce mouvement dit de
« sécularisation » des biens de l’Eglise s'amplifiera aussitôt la
paix signée.
Comme
le traité de Versailles a conduit à la seconde guerre mondiale, la paix
d’Augsbourg conduira l'ensemble de
l'Europe à une guerre dite de « 30 ans » et qui fut conclue par les
traités de Westphalie en 1648.
Ces
traités constatent la défaite des états germaniques totalement ravagés et
marquent l'affaiblissement de la papauté, écartée désormais des grandes
affaires européennes. Ce faisant, grâce à l'action de Richelieu et de son
conseiller le Père Joseph, ces traités transformeront la France en un état
essentiel de l’équilibre européen. Les effets des traités de Westphalie se
poursuivent jusqu’à nos jours. Depuis 1648, ils n'ont été remis en cause que
par Hitler après ses victoires de 1940, quand il projetait de transformer la
France en une province agricole.
Ainsi
se termine la première partie de notre étude :
LE
PROTESTANTISME, RELIGION INFÂME DES DANOIS ET DE G.W. BUSCH.
Les
lignes qui précédent sont exclusivement issues d’écrits dont l’obédience
intellectuelle est au-dessus de tout soupçon : Internet (Wikipédia), manuels
scolaires rédigés par des enseignants français, travaux reconnus de chercheur
américains et aussi quelques publications catholiques.
Aucun
mot ne provient de travaux musulmans.
Deux
autres publications viendront compléter le présent article où nous verrons que
la racaille constituée par les prédicateurs protestants de la « seconde réforme
» dite « calviniste » ne diffère en rien de celle de la « première
réforme » luthérienne. Ces articles sont prêts et seront très
prochainement diffusés sur le site du « Collectif Cheikh Yassine »,
sachant par expérience qu’aucun autre média n’acceptera de les publier.
Puissent
mes écrits renforcer la communauté musulmane de France en ses réserves
inépuisables de mépris qu'elle dédie à ceux qui prononcent à tort le nom de
notre religion.
Mohammed
BOUBAKEUR
5 commentaires:
Et depuis quand fait-il partie des caractéristiques d'un adhérent à la foi en Dieu ne serait-ce que de penser au genre d'obscenités dessinées sur la première de couverture ?
Car en deça d'un certain seuil de décence non négociable dans l'ordre de la morale religieuse , il n'est plus question de prêter à un homme les caractéristiques d'un appelé, d'un élu de Dieu. C'est une certitude, et cette façon de songer, permet de faire un tri assez prompt et facile à opérer. CAR, on ne le répétera jamais assez, certaines caractéristiques sont absolument insolubles pour une proximité avec les croyants et Dieu.
En plus dans cette histoire, la donne est carrément changée, elle enlève tout crédit au Luther historique, à partir de l'instant où l'on sait que la charge de prélever les indulgences fût originellement la cause qui le décontenanca en cela qu'elle fût attribuée à ses pires ennemis, les dominicains. Et que ce n'est que par jalousie qu'il se dressa contre elles. Puisqu'il affirme y être attaché : "Maudit soit celui qui parle contre la vérité des indulgences apostoliques" (thèse71), citation qui a fait souligner à l'auteur, l'ambiguité du positionnement de Luther par rapport au combat qui le fit tout de même connaître. Wa lahou a'la wa a'lam.
Pour ma part, je n'ai jamais ressenti de haine dans mon coeur, mais je dois dire que, si je devais ressentir un sentiment qui s'en approchait, ce serait celui qui s'enclencherait dès lors que je percevrai la volonté chez un homme, d'utiliser la religion à des fins que Dieu n'a pas assigné.
Je pense qu'en cela, l'image du pourceau qui flaire des fleurs pures, est une EXCELLENTE image. Elle l'est d'une part parce que cette image met très bien en relief l'incompatibilité foncière de la bassesse avec la noblesse ; d'autre part, que les personnages qui nourrisseront ces vils desseins apparaitront pour exactement ce qu'ils sont, lorsquil adviendra que les croyants sincères les verront en action, d'une façon on ne peut plus évidente.
Par ailleurs, je ne suis pas choqué lorsque l'auteur inclu dans son argumentaire, des considérations sur la physionomie de Martin Luther. En effet, Allah Jala JALALOU dit bien dans le Coran: "Ta'rifouhoum bi simaa houm " ( Trad : Tu les reconnaîtras dans leur aspect " ). Ce cosmos est parfait, et rien est au hasard. Un grain de peau particulier, un regard récurrent, la taille d'un front ou d'un menton : tout ceci, malgré que l'homme en soi le prétendu propriétaire, témoigne pour ou contre lui de ce qu'il demeure être intrinsèquement. Ces idées sont largement étayées dans la tradition prophétique, c'est une réalité que les croyants connaissent.
Toutefois, une question taraude mon esprit. Ici je m'adresse explicitement à vous, Si Mohammed. Vous affirmez que vos travaux ne sont acceptés d'aucune colonne de publication, sauf celles du
Collectif Cheikh Yassine. Pardonnez-moi, mais les sites et blogs qui défendent une information qu'ils prétendent libre et alternative font maintenant florès sur la toile, et si jamais ces administrateurs se refusaient à relayer vos travaux, quelles en seraient les raisons ?
Avez-vous tenté des sites tels AlterInfo, Le libre penseur, E&R, précisément en quête de ce genre d'informations ? J'en oublie certainement. Pourquoi refuseraient-ils de publier vos travaux ?
Fraternellement
Notons enfin que Dalil Boubakeur appelle de ses vœux « un nouveau Luther » pour l'islam.
J'ai rarement vu un type avec une haine viscéral de l'islam autant que lui.
Énorme cet article, je ne connaissais rien sur les protestants mise à part quelques grandes lignes sur le conflit nord-irlandais et encore...
Comme quoi les soldats du diables travaillent sans repos pendant que nous qui nous revendiquons de la religion d'Allah azzawajel restons passif
Vous avez fait un choix judicieux M. Boubakeur d'avoir entrepris ces recherches suite à la sinistre visite de l'ambassadeur à la mosquée de Paris. Rare sont les musulmans comme vous qui avez analysés aussi finement la problématique des musulmans de France et d'ailleurs.
Vos écris sont d'une grande richesse, mais malheureusement pas du tout exploités. Ils devraient être un tremplin, une base pour quelque chose de plus conséquent.
Pour ma part je ne suis pas du tout surprise de l'attitude des sites d'information alternative tel que Alterinfo ou Egalité et Reconciliation. Pour pouvoir dénoncer la pierre angulaire de la guerre mener contre l'islam en occident, il faut d'une part être concerné, et d'autre part ne pas porter toute son attention au complot juif mondial.. Comme si toutes les problématiques que couvre le monde n'avais q'une même énigme!
Par contre il est décevant de la par des sites d'information musulman de ne pas relayer les articles de M. Boubakeur. Ce boycott me met or de moi lorsque je vois l’intérêt porté par certains sites à des polichinelles tel que Karim Achoui, nouvel imposteur de la trempe de Rachid Nekkaz.
L'état de la communauté est dans un chaos des plus manifestes!
M. Boubakeur vous est-il possible d'utiliser d'autres voies de communications tel que les videos et les conférences?
Qu'Allah vous récompense pour se que vous nous apportez.
Merci beaucoup monsieur Boubakeur pour cet article qui m’a éclairé sur la nature de cette croyance, certes comme dit le proverbe « le vase ne peut déborder que par sa contenance » déjà à lire leurs écrits sur l’islam et les musulmans on comprend que ces propos et ces obscénités qui sortent de leurs bouches ne sont rien d’autre que la formulation de l’infamie que représente cette croyance et votre article nous montre l’étendue de cette infamie. Effectivement la contenance cachée du vase est encore plus infâme
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